Le vote des travaux chaufferie que l'on voulait nous faire voter en 2018
sans aucune mise en concurrence,
demandait d'engager des travaux qui avait déjà été ... votés, faits et payés en 2017 !
et demandait aussi d'engager des travaux .... doublement inutiles comme le remplacement des échangeurs et c'est ENGIE qui par écrit confirme l'inutilité et même la gêne occasionnée par ces équipements qu'i est conseillé d'enlever !
Résumé :
On nous a présenté en 2017 un devis global pour des travaux pour 41577,11 € HT pour lequel on a voté et payé la 1ere phase dont les travaux ont été réalisés (en grosse partie).
1/ En 2018, on nous représente le même devis augmenté de 5% sur toutes les lignes pour 43655,84 € HT ce qui avec 10% de TVA fait bien 48021,42 TTC que nous avons bien payé, et donc ... repayé la première phase.
Si vous refusez de lire, de vérifier et de comprendre cela ci-dessous, allez à la peche, n'allez pas plus loin !
2/ Devant l'illégalité d'engager des travaux d'un tel montant sur un seul devis, présidant l'AG, je réclame le rejet de la résolution. Une personne accourt à ma table en m'indiquant qu'il faut voter ce devis car les travaux sont "urgents et nécessaires". Ne voulant pas entraver quoi que ce soit, je demande à l'AG de voter une délégation au conseil syndical d'engager les travaux après mise en concurrence.
3/ Cela date de l'AG de juin 2018 et plus personne n'a jamais reparlé de ces... "travaux urgents et nécessaires". Est ce que la mise en concurrence possible aurait calmé les ardeurs de certains ?
4/ Le syndic et ses conseillers complices savent mettre à l'ordre du jour de l'AG de juin 2018 le même devis que celui de 2017 avec une hausse de 5% mais ils ne savent pas demander des devis à la concurrence pour que le conseil syndical puisse exécuter la délégation donnée par l'AG ? C'est vraiment pas de chance !
5/ La suite nous montre que le remplacement des échangeurs est DOUBLEMENT inutile, il faut les supprimer.
Va-t-on maintenant devoir se battre ENTRE NOUS pour convenir de l'évidence qu'il faut foutre tout ce beau monde à la porte ?
NB : Si je n'avais pas bloqué le vote du devis de 48021 €, le vote était entériné et bien évidement personne n'aurait vu la supercherie (comme pour l'interphonie) et personne n'aurait pu contester car le juge vous rappellera que ne peut contester que l'absent ou celui qui a voté contre.
Certes, la résolution avait prévu de ne voter que les travaux phase 2 (sans indiquer le montant ?!?) mais le PV indique bien 48021 € montant évoqué en AG, qui mentionne bien les DEUX phases, c'est cité par le syndic et repris dans le PV or c'est bien le PV qui engage les parties, pas la convocation et L'APPEL DES FONDS SE FERA BIEN SUR 48021 € docn sur la TOTALITE.
Le secrétaire de l'AG, donc le rédacteur du PV était bien le syndic, y a pas d'erreur.
Si vous n'avez pas compris, n'hésitez pas à relire : toutes les preuves sont sous vos yeux.
Lors de l 'AG de juin 2018, il a été proposé de voter 48021,42 euros de travaux en chaufferie. Devant l'anomalie de n'avoir qu'un SEUL devis sur un budget aussi important, et comme je présidais l'AG, j'ai demandé à l'AG de refuser ce devis et de déléguer la commande au conseil syndical à condition de faire jouer la concurrence et dans le cadre du budget défini. bien m'en a pris .
1ere remarque
Le devis (daté du 17 mai 2018) proposé en AG de 2018 se monte à 43655,84 € HT.
J'ignorais comme beaucoup que ce devis était le devis (daté du 24 mars 2017) déjà proposé en AG2017 pour un montant de 41577,11 € HT et qui a été réactualisé et augmenté de ... 5%, rien que ça.
2eme remarque
Difficile de trouver une trace de mise en concurrence en 2017 comme en 2018.
En 2017, nous avions déjà engagé des travaux selon le devis de 2017.
Ce devis 2017 avait été découpé en deux phases et c’est la phase 1 qui avait été votée pour un montant de 21614.56 € HT soit 23776.02 € TTC comme cela figure sur le PV d'AG de 2017.
On vous fait croire qu'il y a eu choix sauf que vous pouvez vérifier votre convocation d'AG 2017, il n'y avait que le devis de FRAPIER à "choisir". En terme de choix et de mise en concurrence, on doit pouvoir faire mieux et même respecter la loi. Voici le détail de la phase 1 votée pour 21614 € HT :
Finalement, tous les travaux commandés en phase 1 n'ont pas été effectués et nous n'avons payé que 16266.84 € de travaux réalisés et il nous restera 7510,20 € appelés mais pas dépensés comme indiqué dans la page 20 de la convocation d'AG de 2018
En 2018, il nous a été proposé de voter en totalité le devis de FRAPIER réactualisé pour un montant de 48021.42 €.
3eme remarque
Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre qu'on ne peut pas recommander en 2018 des travaux de la phase 1 qui ont déjà été commandés et effectués partiellement en 2017. Et pourtant c'est bien ce qui nous a été présenté et c'est bien ce montant qui a été annoncé, voté et donc engagé.
La logique aurait voulu qu'il nous soit proposé de voter simplement les travaux restants à faire, c'est à dire la phase 2 vu que la phase 1 avait été commandée et payée même si elle n 'était pas terminée.
Si je n'avais pas bloqué le dossier, qui aurait vu qu'on payait deux fois la phase 1 ?
Et la suite ?
A partir du moment ou nos petits filous ont raté leur coup en douce et que la concurrence allait jouer vu que j'avais demandé de voter une délégation au conseil syndical pour sélectionner plusieurs entreprises, l'urgence des travaux phase 2 s'est envolée et plus personne n'en a entendu parler ! Mais le plus GRAVE reste à venir.
4eme remarque
Beaucoup beaucoup plus grave est la chose suivante. L'enjeu de ces travaux phase 2 est de remplacer les échangeurs.
Or on sait que les échangeurs servaient lorsque la chaudière produisait l'eau chaude sanitaire mais ce n'est plus le cas.
Merci donc de savourer ce mail qui émane de notre chauffagiste ENGIE :
Or ENGIE écrit :
"Il serait souhaitable de les supprimer".
Toutes les entreprises qui sont venues visiter la chaufferie m'ont toutes donné le même conseil : supprimer les échangeurs. Un expert est venu avec SALGADO et a confirmé lui aussi l'inutilité de ces échangeurs d'une part et d'autre part l'entrave qu'ils constituent pour obtenir la condensation.
"Les échangeurs ... ne permettent pas d'optimiser la condensation"
or nous avons une chaudière à condensation qui de ce fait ne peut quasiment pas condenser.
Il nous avait été demandé en 2018 de dépenser 48000 € alors que la logique aurait voulu de ne voter que la phase 2 restante.
Vous avez la démonstration on ne peut plus claire de ce à quoi nous avons échappé.
Ou sont passés les petits malins intrigants qui poussaient
leurs pions à notre insu et sans la moindre mise en concurrence ?
L'absence de mise en concurrence se faisait au profit de qui ?
Et la suite ?
On découvrira par le plus grand des hasards que l'on payait une maintenance pour nos deux chaudières identiques alors qu'en réalité une seule était en état de marche car l'autre était en panne depuis des mois (18 mois environ) car trop vieille et pièces de rechange introuvables dont le groupe de sécurité.
J'ai vite compris que si la même panne arrivait sur la seule chaudière en service alors on courrait à la catastrophe. Une conseillère syndicale a su me répondre ceci : "Pourquoi voulez vous qu'elle tombe en panne ?" (SIC)
"Mais madame, je ne vous ai pas dit qu'elle allait tomber en panne, je vous dis que si elle tombe en panne, on se retrouve dans la merde et toute la résidence sans chauffage !!"
Pages jaunes, chauffagistes contactés, cinq feront un devis de remplacement et m'expliqueront toute la chaufferie, s'étonneront de la vétusté des chaudières : 24 ans et dénonceront l'inutilité des échangeurs. Je dis bien , tous les professionnels ont conseillé d'enlever les échangeurs, tous.
Au final, plus personne n'a jamais parlé des travaux prévus en 2018 et tant mieux car le remplacement des échangeurs étaient inutiles et la concurrence non faite. Les 48000 € appelés ont servi à payer en partie la chaudière.
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Les compteurs d'eau.
Pour 72000 € de travaux (50000 € de tuyaux et compteurs et 20000 € de surpresseurs), Ils ont fait l'effort
d'avoir deux ... devis.
Nous avons voté en 2017 la mise en place des compteurs d'eau et le remplacement des arrivées d'eau par les plafonds des couloirs. L'opération seule (sans la mise en place des surpresseurs) a couté exactement : 48593 € TTC (convocation AG 2017) soit 323 € par studio.
Il s'agissait de mettre 4 ou 5 mètres de tuyau plastique, un compteur d'eau, un trou dans la cloison du couloir, un raccordement, un robinet : temps de réalisation ? 4 jours pour un studio ou 4 studios par matinée ?
Quoi qu'il en soit, les 323 € facturés représentent 4 à 5 heures de main d'oeuvre chez un garagiste.
Ce prix parait assez élevé au vu de la quantité.